Publié dans Société

Festivités de Pâques - Les jardins d'Ambohijatovo et d'Anosy ouverts au public

Publié le jeudi, 06 avril 2023

Fêter la résurrection du Christ en toute sérénité. Comme chaque année, une centaine de policiers municipaux seront mobilisés à Antananarivo durant ce week-end pascal.  L'objectif étant d'assurer une bonne organisation et la sécurité de la ville afin que les habitants puissent fêtes Pâques paisiblement. Dans le cadre de ce long week-end festif, les jardins publics d'Ambohijatovo et d'Anosy seront ouverts au public. En effet, l'année dernière, la Commune urbaine d'Antananarivo a décidé de fermer ces jardins à cause de la dégradation des infrastructures due à la foule. Mais cette fois-ci, de nouvelles dispositions seront prises. D'ailleurs, les visiteurs sont encouragés à suivre les consignes. Tous les sites touristiques populaires seront fortement surveillés. Et afin d'assurer la propreté des quartiers fortement fréquentés en cette période de fêtes, des toilettes mobiles et poubelles y seront installées.

Ces agents de police seront présents à chaque coin de rue ainsi que dans les endroits où il y aura beaucoup de monde, en plus de faire des services d'ordre, organiser la circulation des véhicules et surveiller les voies et lieux publics. Ainsi, un responsable au sein de la Police municipale d'avancer que les sanctions seront 

renforcées à l'égard des personnes contrevenantes, que ce soient des automobilistes, des commerçants - en particulier ceux qui vendent de l'alcool sans avoir une licence ou exerçant dans des endroits interdits. L'une des responsabilités de la Police municipale est également la protection des infrastructures de la ville d'Antananarivo. Sur ce, les autorités sollicitent tous les résidents et voyageurs à accepter les consignes émis par tous les policiers, sans exception. 

En rappel, durant la fête de Pâques, la Direction générale de la sécurité routière (DGSR), à travers le Service des opérations et contrôles routiers, en collaboration avec la Police et la Gendarmerie nationale, mènent des opérations pour renforcer les contrôles techniques au départ des taxis-brousse, que ce soit à Antananarivo, dans les autres Régions ou sur les routes nationales, notamment la RN1, RN2, RN3, RN4 et RN7. Les roues, les phares, les essuie-glaces, la transmission, ainsi que les fumées émises par les véhicules seront particulièrement examinés.

 

Anatra R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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